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Les sorties en lac, se font le plus souvent avec les apnéistes d'autres clubs de l'Est.
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Elles se font obligatoirement sous la responsabilité d'un moniteur, éventuellement assisté d'initiateurs.
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Tous les lacs ne sont pas propices à la plongée en apnée, il faut savoir que rares sont les milieux naturels où la plongée est autorisée !
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Le site le plus proche de Nancy est le lac de Kruth (fond maxi - 36 mètres). Un autre lac, le lac de Pierre Percée (grand lac, fond maxi - 65 mètres), plus proche encore, n'est malheureusement plus accessible à la plongée en apnée, peut être cela changera-t-il dans l'avenir ?
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Nos amis de Strasbourg nous convient régulièrement à plonger dans leurs gravières (+ de 40 mètres de fond), mais l'eau y est également très fraiche.
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Les plongée en lac font l'objet d'une demande d'autorisation préalable.
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Elles sont donc assès lourdes à mettre en place.
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A cela s'ajoute la température de l'eau, qui ne se radoucit qu'à partir de mai-juin.
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Des plongées ont déja eut lieu hors saison mais l'assiduité est très faible... Je me souviens d'une plongée de nuit sous la pluie en octobre, où seuls quelques masos étaient présents ! L'adage des apnéistes : "au plus profond de nous même" prenait là tout son sens.
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Lorsqu'il fait doux, l'eau peut monter à plus de 20° en surface (les 20 premiers centimètres), mais à moins 30 mètres, elle reste froide toute l'année. Une combinaison épaisse est donc indispensable (prêt possible par le club), ainsi que gants & chaussons épais ! Le froid use vite les métabolismes et gène les compensations, et ce malgré les 7mm de néoprène.
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La discipline est en ces circonstance indispensable, même si elle n'empèche pas la bonne ambiance. Chacun se doit d'être extrèmement vigilant envers sois même et envers les autres !
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Les plongées se font en binome, le long d'un filin en poids constant. Une laisse coulissante relie l'apnéiste à ce filin tendu entre une bouée en surface et un plomb au fond. La visibilité étant très faible ce système permet d'être toujours en contact avec celui qui plonge. En cas de problème, il suffit alors de tirer sur le filin et de remonter ainsi l'apnéiste. Malgré tout le deuxième apnéiste plonge au bout d'un moment pour accompagner sur les derniers mètres celui qui est descendu vers le froid et l'obscurité.
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Avec une gueuse à frein, la plongée se fait à deux bien sûr !
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Avec une gueuse largable, l'apnéiste est relié à la surface par une laisse comme en poids constant.
